Carte de Confolens (16500), Plan de Confolens, code postal 16500

Ville de Confolens

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Confolens est une ville située dans le département Charente qui correspond au département 16. Confolens fait partie de la région Poitou-Charentes. Le code postal de Confolens est le 16500. La population de Confolens en 2012 est de 3005 habitants pour une superficie de 19.07 km2. Confolens se situe à une altitude de 150 metres

Ce plan peut aussi faire office de carte routière de Confolens. On y voit les grands axes routiers (routes et autoroutes). On y distingues facilement les rues de Confolens, les chemins ferroviaires, mais aussi les lacs. De même, on peut se faire facilement une idée de la densité du réseau urbain et interurbain à Confolens ou au alentours.

A proximité immédiate de Confolens vous avez les villes et communes suivantes : Ansac-sur-Vienne à 2.8 km, Esse à 4.5 km, Saint-Germain-de-Confolens à 4.6 km, Saint-Maurice-des-Lions à 5.8 km, Lessac à 6.1 km, Hiesse à 7.9 km, Manot à 8.1 km, Lesterps à 8.6 km, Brillac à 9.7 km et Chabrac à 10.2 km.

Cette page apporte des informations sur la localisation géographique de la commune de Confolens. Vous avez une carte de Confolens sous forme de plan dynamique sur laquelle vous pouvez zoomer et voir en détail les rues et routes de Confolens.

Il y a également une carte satellite de Confolens sur laquelle vous distinguerez le relief de la commune.

Vous pouvez voir aussi différents fonds de cartes de France avec la localisation de Confolens, comme Confolens sur fond de carte administrative, Confolens sur fond de carte du relief français, et autres.

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Plan de Confolens

Carte de confolens : vous pouvez zoomer sur le plan, faire des déplacements pour voir la région alentour de confolens et vous pouvez aussi avoir une vue sattelite de confolens en cliquant sur sattelite sur la carte ci-dessus.

Sites touristiques à Confolens

CHÂTEAU DU MAS MARTEAU

Ancienne maison forte du XVe siècle. Visite de l'extérieur et d'une partie de l'intérieur. La visite de l'intérieur comprend les pièces du rez-de-chaussée du bâtiment principal, la tour d'escalier, la chapelle et les deux tours isolées.

Thème du site :
Petites cités de caractère#Petites cités de caractère

Adresse :
Route de Niort Le Mas Marteau 16500 Confolens

LE CONFOLENTAIS PAYS D'ART ET D'HISTOIRE

Le territoire confolentais peut compter sur de nombreuses ressources : un patrimoine bâti, notamment rural, préservé et reconnu grâce à un inventaire, ainsi qu'un patrimoine naturel protégé à l'image de la vallée de l'Issoire, classée zone Natura 2000. Grâce à ses atouts, le territoire a obtenu le label national "Pays d'Art et d'Histoire" en novembre 2008. Ce label géré par le service Patrimoine, lui donne l'opportunité de mener des actions de valorisation du patrimoine et de sensibilisation auprès de la population et des touristes. Le territoire confolentais est également intégré dans un réseau national qui compte plus de 190 territoires labellisés. Tout au long de l'année, le Pays d'Art et d'Histoire organise des visites guidées, des ateliers pour les enfants, des conférences, des spectacles ou des expositions sur l'ensemble de son territoire. Il participe également aux grandes manifestations régionales et nationales. Vous pourrez découvrir les villages du Confolentais et les bâtiments clés de leur histoire au travers de visites thématiques variées.

Thème du site :
Ville ou Pays d'art et d'histoire#Ministère de la Culture|Petites cités de caractère#Petites cités d

Adresse :
8 rue fontaine des jardins Communauté de Communes de Charente Limousine 16500 Confolens

PRIEURE SAINT MAXIME

Commentaire historique : Une première église est mentionnée en 990 comme dépendance de l'abbaye de Charroux. Au cours du XIIe siècle, elle devient une dépendance (prieuré-cure) de l'abbaye de Lesterps. La paroisse est rattachée au diocèse de Limoges. Il ne reste pas de trace de ce premier édifice. L'actuelle église pourrait dater du XIIIe siècle avec de nombreux remaniements postérieurs. Le plus ancien prieur connu, Mathurin de Mostre (ou de la Montre) est mentionné dans un acte de 1460. La chapelle Saint-Joseph ou chapelle des Sire (ou des Moyrat), actuellement transformée en sacristie, a été construite après 1511. Les prêtres de la paroisse semblent avoir appartenu pour la plupart à la confrérie Saint-Nicolas au moins depuis 1502. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, cette confrérie siégeait dans la nef gauche de l'église, aussi considérée comme chapelle seigneuriale. La confrérie du Saint-Sacrement est par ailleurs mentionnée en 1633. La clôture de choeur avait été commandée en 1596 par les consuls et les fabriciens au menuisier Pierre Vert. Elle a aujourd'hui disparu. Dès le milieu du XVIIe siècle (vers 1653/1656), l'église est dotée d'une horloge. A la même époque, un collège des pauvres, établissement d'enseignement, se tenait dans le premier étage du clocher. En avril 1681, par testament, Anne Couvidat fait un don pour la dorure du tabernacle et du retable. Il ne reste aucune trace de ce retable. En mai 1791, le four banal dépendant du prieuré (et non localisé) est cédé comme bien national. De 1793 à 1795, le culte est interdit dans l'édifice. Le 20 octobre 1793, il est décidé de descendre trois des quatre cloches présentes dans le clocher. Comme de nombreuses autres églises du Confolentais (et en particulier l'abbaye de Lesterps), elle sert de prison pour les prisonniers espagnols des guerres napoléoniennes. Ceux arrivés le 6 fructidor an II (23 août 1794) sont répartis entre Saint-Maxime et le Vieux-Manoir (rue du soleil). Elle est rendue au culte le 13 messidor an III (2 juillet 1795), mais est alors en mauvais état. Des travaux de rénovation sont votés à partir de 1811. Le clocher, en mauvais état, est réparé en 1819, puis à nouveau semble-t-il en 1841. Pourtant, la date de 1836 portée sur une clef de voûte de la première travée semble indiquer que celle-ci a été reconstruite vers cette date, et donc que l´ancien clocher aurait pu être détruit à cette occasion. Sous le Second Empire sont menés des travaux importants. Le clocher est élevé en 1859 sur les plans de l'abbé Blaudy avec les matériaux provenant de la destruction de l'église Saint-Michel. Il est légèrement décalé par rapport à l'ancien clocher. Cet abbé entreprend également des restaurations ou plutôt des reconstructions radicales, dans un style néogothique, et fait modifier en style néo-Renaissance la porte qui s'ouvre vers l'ouest. Il fait décaisser la nef sur plus d'un mètre d'épaisseur, détruisant les sépultures qui s'y trouvaient (les dernières inhumations sont mentionnées en 1776). A l'extérieur, il faut placer des consoles qui devaient accueillir les statues de Saint-Maxime et Saint-Gauthier, projet abandonné par ses successeurs. Il modifie également certaines fenêtres et y fait ajouter des remplages de style néo-gothique. En 1862, les contreforts de l'église sont renforcés. En 1864 est posée une horloge. En 1928 sont mentionnées la réparation des horloges de Saint-Barthélemy et Saint-Maxime, ainsi que la réfection de la charpente et du clocher de Saint-Maxime. Des travaux de consolidation de l'édifice sont à nouveau menés en 1942/1943, puis en 1999/2000. La place du Marché a été remblayée en 1817. Sur le cadastre de 1826, outre la maison à pans de bois (aujourd'hui cadastrée AD 251), plusieurs petits corps de bâtiments étaient adossés au mur nord de l'édifice. Ils sont progressivement détruits à partir de 1873, suivant le plan d'alignement. Les plans d'acquisition de ces échoppes par la ville, ainsi que de celles situées sur un îlot disparu à l'emplacement de l'actuelle place du marché, sont reproduits dans le dossier d'illustrations. Datation(s) principale(s) : 13e siècle ; 14e siècle ; 15e siècle ; 16e siècle ; 19e siècle Date(s) : 1836 Justification de la datation : porte la date Description Commentaire descriptif : L'église prieurale a subi d'importants remaniements au XIXe siècle, avec l´ajout de nombreux éléments néogothiques et la construction d´un nouveau clocher. Le portail de type limousin du XIIIe siècle a été préservé sur le pignon occidental. Bâti en grand appareil de granite, il est inclus dans un massif en saillie surmonté d´une corniche soutenue par des modillons. Il est composé de quatre rouleaux en arc brisé, moulurés sur leur bord interne et doublés de fins tores qui devaient retomber sur des colonnettes aujourd´hui disparues. Une imposte soulignée par un décor de crochets marque la séparation entre les piédroits du portail et ses rouleaux. Ce portail est très proche de celui de la chapelle de la Commanderie. Ce portail est surmonté de deux rosaces à remplage néogothique, probablement construites au XIXe siècle. Les deux angles de la façade ont également été remodelés au XIXe siècle. A pans coupés, ils renferment chacun une niche à colonnettes et fronton néogothique qui devait accueillir des statues. Sur l´élévation nord étaient adossées des boutiques (voir dossier illustrations) dont une seule subsiste aujourd´hui (parcelle AD 251). Les épais contreforts ont été ajoutés postérieurement. A l´origine, l´église était soutenue par des contreforts plats qui subsistent en grande partie. Cette élévation est éclairée par trois grandes baies couvertes en arc brisé. Cependant, sur la première travée, une étroite baie couverte en plein cintre et murée est adossée au premier contrefort. Sur la deuxième travée s´ouvre une porte à décor gothique avec pinacles, fleurons, fronton et amortissements. Les chapiteaux qui surmontent les colonnettes sont ornés de feuilles de chêne. Le chevet, plat, est contrebouté par des contreforts positionnés à 45° par rapport au mur et un massif contrefort ajouté par la suite à la jonction de la nef et du bas-côté. Il est éclairé par deux baies en arc brisé et à réseau. L´élévation sud est en grande partie masquée par le bâti et la cour du presbytère. Elle est éclairée par quatre baies en arc brisé. Le clocher fut élevé en 1859 sur les plans de l'abbé Blaudy sur le bas-côté sud, à l'ouest, ce qui entraîna la disparition d'une partie de la première colonne. Ce clocher, construit en partie avec des remplois de l´église Saint-Michel, est placé obliquement sur l'angle sud-ouest. Il repose sur une souche rectangulaire, renforcée de contreforts obliques sur les angles. Au rez-de-chaussée et au premier étage, il est percé de baies semblables à celles de la nef. Puis il devient octogonal, présentant des baies sur quatre côtés et sur les autres, en alternance, des arcades aveugles encadrées dans des arcs en mitre. Ces ouvertures portent des fleurons et des crosses sur leurs extrados. La flèche octogonale présente des crochets sur ses arêtes et des ouvertures étagées et intercalées. Quatre horloges s'intercalent sur chaque facette entre les abat-son. Une girouette ornée d'un coq somme la flèche. L´église se compose d'une nef avec un collatéral étroit de cinq travées au sud. Les colonnes reçoivent les ogives, les doubleaux des deux voûtes et les arcades. Il en est de même pour les demi-colonnes adossées aux murs gouttereaux. Le voûtement semble avoir été refait au XIXe siècle, si l´on en juge par la date de 1836 portée sur l´une des clefs de voûte. Les autres clefs de voûte sont ornées de blason (armoiries de la ville), de symbole (IHS, AM), etc. La chapelle de la Vierge comprend une petite crédence gothique ornée d'un trilobe. Les travaux de dégagement de l'escalier de la tribune à la fin du XXe siècle ont permis la découverte d'une grande arcade en ogive avec têtes humaines (un homme et une femme) sculptées. Les culots qui supportent la retombée des voûtes dans la sacristie sont ornés de visages humains stylisés. Sur l'élévation sud se trouve une seconde porte à décor gothique, couverte en accolade, avec pinacles, fleurons et crochets épanouis. Un blason situé au centre, sous l´accolade, porte le chiffre SM. Ses chapiteaux sont ornés d´animaux fantastiques. Les fonts baptismaux ont été acquis sur le marché des antiquités. Le reste du mobilier est étudié par ailleurs. Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : granite ; calcaire Matériau(x) de couverture : ardoise Parti de plan : plan allongé Type et nature du couvrement : voûte d'ogives Parti d'élévation extérieure : élévation à travées Type de la couverture : toit à longs pans ; flèche en maçonnerie Technique du décor : sculpture Représentation : tête humaine ; chronogramme ; armoiries ; IHS ; pilastre ; fronton ; feuille ; chêne ; monogramme ; animal fantastique ; crochet Précision sur la représentation : Portes à décor de pinacles, fronton, amortissements, crochets. Sur une clef de voûte : armoiries de la ville de Confolens avec fleur de lys au-dessus de chacune des trois tours. Sur une clef de voûte : écartelé avec IHS en 2 et 3, M en 1 et 4. Inscription(s) portée(s) sur l'édifice : " 1836 " sur une clef de voûte de l'ancienne travée du clocher. " SM " entrelacés sur la porte sud (côté intérieur). Intérêt de l'oeuvre Date(s) et nature de la protection MH : 1973/10/12 : inscrit MH Précisions sur la protection : Eglise Saint-Maxime : inscription par arrêté du 12 octobre 1973.

Thème du site :
Petites cités de caractère#Petites cités de caractère

Adresse :
Rue du Maquis Foch 16500 Confolens

CHÂTEAU DE SAINT-GERMAIN-DE-CONFOLENS

Au sein d'un cadre préservé, la Vienne, rivière puissante, serpente aux pieds du village. Saint Germain est bâti à la confluence de la Vienne et de l'Issoire. Quant au château fort, du haut de son promontoire, il occupe une position stratégique et domine de ses tours le territoire. La forteresse primitive fut édifiée au XIIème siècle et modifiée aux XIIIème, XVème et XVIIème siècles. Bien que touchée par les affres du temps, cette forteresse conserve ses tours qui délimitent la cour intérieure et au sous-sol des archères, des canonnières et des salles voûtées. Les visites guidées du château sont proposées dans le cadre du Label Pays d'Art et d'Histoire du Confolentais.

Adresse :
Le Bourg St Germain de Confolens 16500 Confolens

CHAPELLE DES HOSPITALIERS DU SAINT ESPRIT DE MONTPELLIER

Cette chapelle est accessible extérieurement toute l'année mais uniquement sur rendez-vous pour pour les groupes qui veulent visiter l'intérieur est l'une des très rares de l'ordre du Saint-Esprit subsistant en France. La commanderie comportait un hospice pour les pauvres. L'ancienne chapelle du Saint-Esprit a été inscrite aux MH par arrêté du 1er décembre 1969. Historique Commentaire historique : La date de la fondation de la chapelle du Saint-Esprit n'est pas connue avec précision. Son portail est très proche de celui de l'église Saint-Maxime et pourrait dater du début du XIIIe siècle. La commanderie est citée dans plusieurs actes du XVIe siècle. En 1656, une confrérie des pénitents blancs est créée à Confolens : elle s'installe dans la commanderie avant de partir à la chapelle Notre-Dame-de-Châteauvieux. Louis XIV supprima l'ordre du Saint-Esprit par un édit de 1692. L'établissement de Confolens disparut à l'aube du XVIIIe siècle et fut ensuite vendu comme bien national, propriété de la ville. Cette chapelle est l'une des très rares de l'ordre du Saint-Esprit subsistant en France. En 1720, la chapelle est en mauvais état et a perdu un quart de sa voûte. La commanderie comportait un hospice pour les pauvres avant la création de l'hôpital (à l'emplacement de l'actuel hôtel des impôts), auquel elle est réunie en 1781. En 1795, elle est vendue comme bien national. En 1896, l'ancienne chapelle est vendue par la ville à Mme Loew, dont la brasserie était située en contre-bas le long du Goire. Lors des restaurations récentes, dans les années 1990, des bâtiments adossés au nord et à l'est ont été détruits. Datation(s) principale(s) : 13e siècle ; 14e siècle Remploi : remploi Description Commentaire descriptif : La chapelle de la Commanderie, strictement orientée, est située à l'extérieur de la ville, en marge de l'ancienne paroisse Saint-Michel, non loin de cette église. Un bâtiment (sur l'actuelle parcelle AE 300, étudié par ailleurs) et un hospice dépendaient de cette chapelle. Elle est de plan rectangulaire avec une chapelle latérale adossée sur le mur nord, vers le chevet. Le portail est situé sur l'élévation occidentale qui est construite en appareil de pierre de taille en granite. Ce mur pignon est polygonal à trois pans. Le portail de style limousin, en arc brisé, est constitué de trois voussures ornées de boudins, de gorges et de bandeaux, surmontées d'une petite corniche moulurée. Ces arcs reposent sur des colonnes surmontées de chapiteaux ornés de crochets. A droite du portail se trouve une niche à couverture trilobée. Au-dessus du portail, une fenêtre ébrasée étroite est couverte d'un bloc monolithe en plein cintre. L'élévation sud est construite en grand appareil sur moins d'un mètre vers l'ouest, en moellons sur le reste du mur. Un contrefort plat se trouve vers le tiers oriental de l'élévation, un autre complètement à l'est, soutenant un mur ajouté postérieurement à la chapelle. Le choeur est éclairé par une fenêtre en arc brisé, mais lors des travaux de restauration des années 1990 a été trouvée une fenêtre couverte d'un arc en plein cintre très similaire à celui de la baie de l'entrée. Des bâtiments ont été adossés à la chapelle, vers l'est et le nord. Ils ont été partiellement détruits lors des travaux de restauration mais ne permettent pas une bonne lecture de l'édifice. La chapelle nord a été construite en moellons, sauf son mur occidental et la partie droite de son mur nord, qui sont en grand appareil. Cette chapelle latérale est éclairée sur le mur nord par une fenêtre en arc brisé avec réseau gothique en calcaire. A l'intérieur, les voûtes d'arrête s'appuient sur des culots dont certains sont ornés, tout comme les clefs de voûte. Certains représentent des têtes humaines ou des personnages, d'autres des feuilles de chêne. La partie orientale, où se trouvait le choeur, a été transformée en grange et est séparée de la chapelle par une cloison. Un hagioscope permettait une vue sur ce choeur depuis la chapelle latérale nord. Plusieurs tombes, dont certaines de commandeurs, sont conservées dans la chapelle. Certaines pierres tombales ont été détruites, fragmentées et remployées dans le dallage. Lors des travaux de restauration des années 1990, des peintures murales ont été mises au jour sur l'élévation orientale de la chapelle nord. Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : enduit partiel ; moellon ; granite ; pierre de taille Matériau(x) de couverture : tuile creuse Parti de plan : plan allongé Type de la couverture : toit à longs pans Technique du décor : sculpture Représentation : armoiries ; crochet ; feuille ; chêne ; tête humaine Précision sur la représentation : Décor de feuille de chêne, têtes humaines sur les culots des arrêtes des voûtes d'ogive. Intérêt de l'oeuvre Date(s) et nature de la protection MH : 1969/12/01 : inscrit MH Précisions sur la protection : Chapelle du Saint-Esprit (ancienne) (cad. B 43) : inscription par arrêté du 1er décembre 1969.

Adresse :
Place Saint Michel 16500 Confolens

PRIEURE SAINT BARTHELEMY

Commentaire historique : Si certains auteurs font remonter cette église au XIe siècle, elle semble en fait, dans son état actuel, dater de la seconde moitié du XIIe siècle. Le prieuré dépendait de l'abbaye de Lesterps alors que la cure appartenait au diocèse de Poitiers. Des modifications importantes sont intervenues au XVe siècle, avec en particulier la construction de chapelles vers le sud. Un terrier du prieuré datant du XVe siècle est conservé. Il en résulte un programme sculpté intéressant sur les culots et les clefs de voûte. Le clocher a été pour partie reconstruit en 1630. Sur le cadastre de 1826, l'église est figurée comme un bâtiment public (en bleu) sur l'exemplaire conservé en mairie, mais elle est représentée comme un bâtiment privé (en rouge) sur l'exemplaire conservé aux archives départementales (erreur du copiste). Paul Abadie a étudié et fait un relevé de cet édifice dans le cadre des premiers travaux de la commission des monuments historiques en 1840. L'ancien cimetière se trouvait sur le parvis actuel jusque vers 1840. Il est cadastré C 167 sur le cadastre de 1826. Datation(s) principale(s) : 11e siècle (?) ; 12e siècle ; 15e siècle ; 17e siècle Description Commentaire descriptif : Le prieuré Saint-Barthélemy de Confolens dépendait de l´abbaye de Lesterps. Seule l´église du XIIe siècle nous en est parvenue. L'édifice n'est pas orienté : le choeur est légèrement décalé vers le sud. Son plan en croix latine est moins lisible aujourd´hui du fait de la construction au XVe siècle de chapelles sur l´élévation nord. Le portail est situé sur le mur pignon occidental. Il comprend deux rouleaux en plein cintre retombant sur des colonnettes. Il est encadré de pilastres et surmonté d´un bas-relief en calcaire représentant l´agneau de la Résurrection dans une gloire et encadré de deux anges. De part et d´autre des pilastres, des bas-reliefs en granite figurent des animaux tournant le dos à la scène centrale. Le clocher est situé à la croisée du transept dont les bras sont peu développés, avec une absidiole semi-circulaire percée d´une baie en plein cintre sur leur élévation orientale. Le clocher est de plan rectangulaire. Seule sa souche est ancienne, limitée par un cordon. Les deux étages, refaits en 1630, sont ouverts de deux baies sur chacune de leurs faces et surmontés d'un toit bas en pavillon. Le chevet semi-circulaire est éclairé par cinq baies en plein cintre séparées par de petits contreforts plats. Seules les parties en grand appareil de granite, comme la façade ou le premier niveau du clocher, semblent être d´origine romane. Le chevet et les absidioles ont été plusieurs fois remaniés, comme en témoignent de nombreuses reprises en moellons. Les contreforts d´origine sont des contreforts plats. Sur l´élévation nord, on les retrouve aujourd´hui intégrés dans les chapelles adossées. Le mur nord est percé de quatre fenêtre couvertes en arc brisé, en pierre d´Angoulême. Le mur sud est percé d'une fenêtre par travée. La nef comporte quatre travées, sous berceau brisé, en pierres et briques, partant d'un cordon mouluré ; les doubleaux reposent sur des pilastres. Le choeur est hémi-circulaire. Le carré du transept soutient une coupole sur trompes, portée par de grands arcs sur pilastres et dont la calotte octogonale est percée de deux oculus à l'est et d'une ouverture pour les cloches. Les trois chapelles latérales, du XVe siècle, sont voûtées d'ogives. Elles communiquent avec la nef par des arcades. La voûte de la première chapelle nord porte une clef ornée d´une fleur de lys. Les culots sont ornés (têtes humaines et décor géométrique). L´arc brisé qui surmonte la baie porte un blason muet sur sa clef. Les culots de la seconde chapelle sont ornés de feuilles de chêne et de têtes humaines. La clef pendante qui réunit les nervures de la croisée d´ogive mérite d´être observée lorsque cette chapelle est ouverte. La troisième chapelle sert aujourd´hui de sacristie ; certains culots sont eux aussi ornés de têtes humaines. Le mobilier de cet édifice est étudié par ailleurs. Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : moellon ; pierre de taille ; granite Matériau(x) de couverture : tuile creuse Parti de plan : plan en croix latine Parti d'élévation extérieure : élévation à travées Type de la couverture : toit à longs pans ; toit en pavillon ; croupe polygonale Technique du décor : sculpture Représentation : tête humaine ; armoiries ; fleur de lys ; feuille ; chêne ; lion de saint Marc ; boeuf de saint Luc ; agneau mystique ; ange ; croix ; ornement végétal ; pilastre Précision sur la représentation : Portail : deux rouleaux en plein cintre retombant sur des colonnettes. Encadré de pilastres et surmonté d´un bas-relief en calcaire représentant l´agneau de la Résurrection dans une gloire et encadré de deux anges. De part et d´autre des pilastres, des bas-reliefs en granite figurent des animaux tournant le dos à la scène centrale. Chapelles nord : culots et clefs (dont 1 clef pendante) du XVe siècle, avec décor essentiellement composé de têtes humaines. Intérêt de l'oeuvre Date(s) et nature de la protection MH : 1907/09/21 : classé MH Précisions sur la protection : Eglise Saint-Barthélemy : classement par arrêté du 21 septembre 1907.

Adresse :
Avenue Gambetta 16500 Confolens

PRIEURE SAINT VINCENT

Commentaire historique : L'église Saint-Vincent est un ancien prieuré qui dépendait de l'abbaye de Charroux. Elle était à l'origine la chapelle du château de Saint-Germain. Elle était située à l'intérieur de l'enceinte du château. Elle a été construite en plusieurs étapes. Des vestiges de sommiers sur le revers de la façade et sur les piliers à l'entrée de l'abside, probablement situés à la base d'arcades disparues, pourraient être les vestiges d'un édifice primitif. L'église, telle que nous la connaissons aujourd'hui, est un édifice construit au XIIe siècle. L'abside a été reconstruite ultérieurement, toujours au XIIe siècle ou au XIIIe siècle, avec un plan polygonal reposant sur le soubassement semi-circulaire de l'abside d'origine. Les parties de l'église construites en gros appareil de granite ne semblent pas avoir été remaniées. Par endroits, les murs ont été repris en moellons à une date inconnue. La calotte coiffant la coupole sur pendentifs à la croisée du transept s'est effondrée. Le clocher a également été reconstruit, il est probablement moins élevé que le clocher d'origine. Au XVIIe siècle, peut-être avant, la chapelle castrale est devenue l'église paroissiale. A la fin du XXe siècle, des travaux de restauration interviennent. Les deux bras du transept ont été restaurés en 1989-1990. En 1991-1992, les toitures ont été refaites. Datation(s) principale(s) : 12e siècle Datation(s) secondaire(s) : 19e siècle ; 20e siècle Description Commentaire descriptif : L'église Saint-Vincent est située au nord du château, sur l'éperon rocheux dominant le bourg de Saint-Germain. Elle est construite en gros appareil de granite et en moellons pour certaines élévations. Les parties construites en moellons sont probablement des remaniements. L'église présente un plan en forme de croix grecque, plan unique dans le Confolentais, avec une nef très courte, un transept largement développé, chaque croisillon s'ouvrant sur une absidiole sur le mur oriental, et une abside polygonale comportant un étage de soubassement. Le portail rectangulaire est situé sur le mur pignon occidental de la nef. Simple et sans décor, il est couvert d'un grand linteau en forme de bâtière. Le portail est surmonté d'une baie couverte en plein cintre, elle-même surmontée d'un oculus. La partie inférieure du mur pignon est construite en moellons alors que la partie supérieure est en gros appareil de granite. Les pignons de la nef et des deux bras du transept sont découverts, tandis que les murs gouttereaux sont ornés d'une corniche sur modillons. A l'intérieur, la nef est composée d'une seule travée, voûtée en berceau très légèrement brisé. Un bandeau, intégrant les tailloirs des colonnes, parcourt l'église sous le départ de la voûte. Le soubassement des murs latéraux de la nef et du transept présente un large rebord en forme de banc. Chaque mur gouttereau de la nef est soutenu par une arcade aveugle. Le revers de la façade présente deux sommiers saillants, dont la fonction est inconnue. Deux autres sommiers saillants sont situés face aux premiers, à l'entrée du choeur. Il s'agit probablement des vestiges d'un édifice primitif. La croisée du transept était couverte d'une coupole dont il ne reste aujourd'hui que les pendentifs triangulaires et la base de la calotte. Les différents arcs, légèrement brisés, reposent sur des colonnes aux chapiteaux galbés. Le clocher est accessible par un escalier en vis situé entre l'abside et l'absidiole nord. On distingue encore dans le clocher la base de la calotte de la coupole au-dessus du plafond de la croisée du transept. Le clocher est carré, présentant des appareillages différents dus à des remaniements. Il est percé de nombreuses ouvertures rectangulaires. Le clocher est couvert d'un toit en pavillon en tuiles creuses et surmonté d'une girouette représentant un coq peint en bleu, blanc et rouge. Le transept, composé d'une travée sur chaque bras, est éclairé par deux baies en plein cintre percées sur les murs pignons sud et nord. Les murs occidentaux des deux bras du transept sont percés chacun d'une porte. La porte située sur le bras nord présente un linteau identique au portail. Les murs gouttereaux des deux bras du transept sont renforcés par des contreforts plats. Les absidioles semi-circulaires, sur le mur oriental des bras du transept, sont voûtées en cul-de-four et éclairées chacune par une baie en plein cintre. A l'extérieur, deux contreforts plats encadrent la baie de chaque absidiole. L'abside, étroite et basse, s'ouvre sous l'arc triomphal qui soutient la coupole à l'est. Une baie est percée sous cet arc triomphal, au-dessus de l'abside. L'abside, voûtée en cul-de-four, est composée de sept pans. Elle est percée de trois baies en plein cintre et présente des vestiges de peinture murale. Au sud, une petite niche est couverte d'une accolade. A l'extérieur, des vestiges d'une abside primitive sont visibles. Les soubassements de cette première abside sont de plan semi-circulaire et présentent des bases de contreforts. L'étage de soubassement, souvent dénommé crypte, est accessible par un passage à l'entrée du bras nord du transept. Il est voûté en berceau et éclairé par une baie remaniée à l'époque gothique, dont le linteau présente un arc brisé incisé et un tympan au décor de remplage trilobé. Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : granite ; moellon ; enduit Matériau(x) de couverture : tuile creuse Parti de plan : plan en croix grecque Type et nature du couvrement : coupole à trompes ; cul-de-four ; voûte en berceau Type de la couverture : toit à longs pans ; toit en pavillon Emplacement, forme et structure de l'escalier : escalier intérieur : escalier en vis, en maçonnerie Technique du décor : peinture Représentation : fleur ; ornement architectural ; accolade Précision sur la représentation : Des peintures murales, représentant des guirlandes de fleurs, sont situées dans le choeur. Intérêt de l'oeuvre Date(s) et nature de la protection MH : 1973/10/24 : inscrit MH Précisions sur la protection : Eglise (cad. B 109) : inscription par arrêté du 24 octobre 1973.

Adresse :
Le Château St Germain de Confolens 16500 Confolens

CHAPELLE DU COUVENT DES CLARISSES

Historique Commentaire historique : Une pierre dans le cloître porte la date de 1641, alors que la cloche a été fondue en 1640 et que la date de 1638 est mentionnée dans un texte. Les consuls de la ville de Confolens demandent en 1658 à la communauté d'assurer l'éducation des jeunes filles de la ville. En 1674, les soeurs de Sainte-Claire commandent la construction de la chapelle. Le choeur des soeurs était séparé de l'accès au public. Un porche, surmonté d'un fronton et d'une croix, se situait sur l'élévation sud-est. Il a été détruit lors de la transformation de l'édifice en hôpital, mais il subsiste une fenêtre murée au niveau de la tribune. L'ensemble du couvent et de sa chapelle a donc été construit entre 1640 et 1675, et sa première fonction fut l'enseignement des jeunes filles. Il est figuré comme " couvent de Sainte-Claire " sur le plan de Confolens du XVIIIe siècle. En 1792, l'hôpital est transféré de ses anciens locaux rue du Soleil dans ceux du couvent des Clarisses. En 1889, un terrain, séparé de la parcelle C 482, est acquis à M. Bérigaud pour l'établissement d'un réservoir destiné à alimenter la conduite d'eau de l'hospice. Le legs Lagrange-Labajouderie permit en 1895 de rénover et agrandir l'hôpital. De cette époque datent les élévations situées au sud-ouest et le corps de bâtiment en bordure de rue, au-delà de la chapelle. Entre 1927 [projet] et 1931-1932 [paiements] sont réalisés des travaux d'agrandissement avec construction d'un second étage aux bâtiments contigus de la chapelle de l'hospice, sur les plans de M. Baleix, architecte, par M. Roulon, entrepreneur, et MM. Barrière et Neau, entrepreneurs à Royan. C'est de cette époque que date la façade sur Vienne de l'aile nord, plus ou moins symétrique de l'aile sud. Sur les cartes postales plus anciennes, cette façade n'existait pas. L'hospice de Confolens possédait à Chabanais des terrains occupés par la brigade de gendarmerie de ce lieu. Ils furent vendus en 1909. En 2006, l'hôpital comptait 205 lits, dont 75 de long séjour et 75 en maison de retraite. L'abbé Nanglard mentionne également à peu près aux mêmes dates un établissement des filles de Notre-Dame, qu'il situe dans l'établissement des Clarisses. Cet établissement, dépendance d'un monastère poitevin, s'est installé à Confolens en 1655 par autorisation comtale. La chapelle est bénie en 1658 par le prieur de Saint-Barthélemy, l'établissement disparut vers 1675. La localisation de ce couvent n'est pas connue, même si Nanglard le situe avec les Clarisses. Datation(s) principale(s) : 2e quart 17e siècle ; 3e quart 17e siècle ; limite 19e siècle 20e siècle Date(s) : 1641 ; 1674 Justification de la datation : porte la date ; daté par source Auteur(s) : Bagneix (architecte départemental) ; Roulon (entrepreneur) ; Barrière (entrepreneur) ; Neau (entrepreneur) Description Commentaire descriptif : L'ensemble est composé principalement de quatre corps de bâtiments organisés autour de la cour qui était l'ancien cloître et, en bordure de rue, d'un bâtiment datant pour l'essentiel de la fin du XIXe siècle. Les autres bâtiments ont été construits plus récemment. La chapelle, dont le choeur est orienté au nord-est, est la partie la mieux conservée de l'ancien couvent (en haut à droite sur la photographie aérienne de Henrard, dans le dossier illustrations). Elle comportait un petit clocher, couvert d'un toit polygonal dans lequel se trouve la cloche étudiée par ailleurs. Côté cloître, la chapelle est désormais longée par un couloir de l'hôpital. Côté rue, elle est éclairée par deux grandes baies couvertes d'un arc brisé. L'ancienne entrée, à l'opposé du choeur, a été murée. La porte monumentale qui permet l'accès depuis la rue est encadrée de pilastres. Elle est surmontée d'un fronton cintré à volutes rentrantes. Au-dessus, une niche renfermant une statue est encadrée de pilastres et coiffée d'un fronton triangulaire. A l'intérieur de la chapelle se trouve un retable baroque du XVIIe siècle, monument historique depuis 1909 (étudié par ailleurs). La sacristie est située au nord-est, on y accède par une porte dissimulée dans les boiseries du retable. La façade la plus remarquable de l'édifice domine la Vienne. Le corps central comporte dix travées sur les deux étages. Il est couvert d'un toit à longs pans et croupes latérales en tuiles creuses. Les deux ailes qui l'encadrent forment une légère avancée vers la Vienne. Leur pignon comporte chacun de quatre travées. Ces ailes sont couvertes de toits à longs pans brisés et croupes brisées en ardoises, interrompus par des lucarnes. Le pignon opposé de l'aile sud comporte trois travées. Etant donnée la pente naturelle du terrain, la façade se compose ici d'un sous-sol aéré par des soupiraux, un rez-de-chaussée surélevé, un étage et un étage de comble. Cette élévation porte un décor de la fin du XIXe siècle, avec des fenêtres jumelles à l'étage et des couvertures de baies en arc segmentaire. Des fenêtres similaires se retrouvent sur l'élévation rue Labajouderie. Un décor de même style se retrouve à l'intérieur à l'entrée de l'escalier. Un petit corps de bâtiment couvert en terrasse et protégé de balustres fait la jonction entre cette aile et l'aile qui longe la rue de l'Hôpital. La porte qui permet d'entrer dans ce petit bâtiment est encadrée de pilastres et surmontée d'une corniche. Elle est encadrée de chaque côté par une étroite et haute fenêtre surmontée d'un larmier triangulaire. Rue Labajouderie, une autre porte monumentale permet l'accès à la cour (ancien cloître) par un passage couvert. Cette porte est couverte en plein cintre, avec une imposte ornée en ferronnerie et est encadrée de pilastres. Côté cloître, ce passage couvert porte un décor assez similaire. Dans le cloître, les ouvertures ont été remaniées pour certaines, pour d'autres, elles sont similaires aux ouvertures côté rue. On devine néanmoins toujours sur le côté sud-est de la cour les arcades couvertes en plein cintre de l'ancien cloître. Vers la Vienne, le pavillon de jardin est couvert d'un toit en pavillon sommé d'un épi de faîtage en terre cuite. Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : enduit ; moellon ; bossage Matériau(x) de couverture : tuile creuse ; ardoise Vaisseau(x) et étage(s) : rez-de-chaussée ; 2 étages carrés ; étage de comble Type de la couverture : toit à longs pans ; croupe ; terrasse ; toit en pavillon ; toit à longs pans brisés ; croupe brisée ; toit polygonal ; terrasse Technique du décor : sculpture ; ferronnerie Représentation : chronogramme ; ornement architectural ; fronton ; pilastre ; volute ; balustre ; saint Précision sur la représentation : Porte de la chapelle à fronton et riche décor. Autres décors architecturaux sur les différentes élévations. Inscription(s) portée(s) sur l'édifice : 1641 sur une pierre dans le cloître.

Adresse :
Rue Labajouderie 16500 Confolens

TRAIN TOURISTIQUE (CHEMIN DE FER DE CHARENTE LIMOUSINE)

Une escapade champêtre sur une ancienne ligne de chemin de fer entre Confolens et Roumazières au rythme du train d'autrefois. Pour connaître les jours de circulations contacter le 05 45 71 16 64. Possibilité de grands parcours (Confolens Roumazières et retour 34km) ou petits parcours (Confolens Manot ou Roumazières Manot et retour 18km).

Adresse :
Avenue Gambetta La Gare 16500 Confolens

VELO RAIL

En vélorail, ou en train touristique, rentrez en contact avec une nature verdoyante, et laissez vous tomber sous le charme de la Charente-Limousine ! Vous découvrirez également comment une équipe de bénévoles a fait revivre ces 17 kms de voie ferrée et ce qu'elle compte en faire demain. Alors venez, laissez-vous tenter ! Famille : Deux personnes pour pédaler, les trois autres assises : une façon sportive et amusante de découvrir la Charente Limousine (à partir de 8 ans) Départ de Confolens /Manot : 10h30 - 15h Départ Roumazières/Manot 10h -13h-16h

Adresse :
Avenue Gambetta La Gare 16500 Confolens

LIVRETS-JEUX ZAZA LUMA

Découvrez avec vos enfants (dès 8 ans) le patrimoine Confolentais en s'amusant. 6 livrets-jeux "Zaza Luma" vous entrainent à la découverte de la ville médiévale de Confolens, du château-fort de Saint-Germain, des ostensions à Esse, du village de Champagne-Mouton, sur les traces d'une ancienne abbaye à Lesterps ou encore sur celles de la Résistance à Confolens. Retirez ces livrets-jeux gratuitement à l'Office de Tourisme

Adresse :
8 rue Fontaine des Jardins 16500 Confolens

CENTRE ÉQUESTRE DE JALLAIS

Manège (20x40 m), carrière obstacle (50x80m) et dressage (50x80 m), boxes, aires de pansages, douche chevaux.

Adresse :
Jallais 16500 Confolens

Localisation de la ville de confolens

confolens en quelques données :

  • N° départ. : 16
  • Département : Charente (16)
  • Région : Poitou-Charentes
  • Code Postal : 16500
  • Latitude : 46.0122
  • Longitude : 0.671667

Quel est le code postal de confolens ?

Le code postal de confolens est le 16500. La ville de confolens, code postal 16500, se situe dans le département Charente (16) lui même situé dans la région Poitou-Charentes.

Ou se trouve Confolens confolens ?

La commune de "confolens" se trouve dans le département Charente, son code postal est le 16500. La région de la ville de confolens est la région Poitou-Charentes dont le numéro de région est le 119.

Carte du département Charente

Carte du département Charente
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